Bienvenue sur le Blog de Julie...

Dans nos vies quotidiennes résonnent fréquemment des moments de stress, de tension, de douleur, de difficulté ou même des simples petits instants de faiblesse... L'esprit et le corps sont alors mis à contribution et ont souvent du mal à tout absorber. Dans ces circonstances, il est parfois compliqué de trouver des solutions immédiates et opérationnelles.
Grâce à une grande écoute et à l'utilisation de techniques variées agissant sur le confort mental et sur le bien être physique, je vous propose de mettre en oeuvre avec vous un programme adapté à vos besoins ponctuels ou réguliers.
Ces solutions s'adressent aussi bien aux adultes qu'aux enfants Elles sont sans risque et adaptées aux besoins de chacun. Mes coordonnées figurent sur cette page. Prenons rendez vous et évoquons vos préoccupations ensemble.
En attendant, ce blog - outil d'échange et de partage - est une fenêtre sur l'actualité émotionnelle du monde qui nous entoure; il vous apportera également des indications régulières sur le sens de ma démarche... Bonne lecture et à trés vite.
Julie

Actualité Sophrologie

vendredi 25 mai 2012

La plus puissante chose qu'un être humain puisse vouloir est ce qu'il perçoit comme le


symbole de sa liberté."


Barry Long

mercredi 23 mai 2012

UN PSY POUR QUOI FAIRE ?


Beaucoup de gens ont, un jour ou l’autre, recours à un psy. Les préjugés tombent peu à peu et dans certains pays il est même inconcevable de ne pas avoir de psy.

En France la visite est devenue banale, et 5 millions de français ont déjà consulté un thérapeute.
 
La psy envahit tout et les psys sont partout ! dans le couple, la famille, les écoles, le boulot, auprès des victimes, des témoins de drames, sur les plateaux télé, auprès des sportifs ou encore aux côtés des "mauvais conducteurs"...
Phénomène de mode ou symptôme d’une société en crise ? Que signifie cette psychologisation de notre société ? 

Psychothérapie, analyse, cognitive, comportementale, familiale, de groupe, EMDR, psychiatre, psychologue, psychothérapeute, psychanalyste, pédopsychiatre ou bien encore "coach"...
Comment s’y retrouver ? Combien cela doit-il couter ? Combien de temps cela doit-il durer ? Comment savoir si mon "psy" est la bonne personne ? Mon psy peut il m’aider ? Comment choisir mon psy ?  Quelles sont les véritables indications ?
 
Car si nous avons, tous, un cerveau, des émotions et un passé, avons-nous, tous, besoin d’un psy, d’un coach, et pour quoi faire ?
 
Enquête de santé ce penche sur cette « culture et reflexe Psy » que de plus en plus de Français adoptent...

dimanche 20 mai 2012

Les hémisphères droits, ces gens doués et qui l`ignorent

Il y a le côté droit et le côté gauche. Rien de politique. Nous parlons ici du cerveau. Ursula Gauthier reçoit la psychothérapeute Béatrice Millêtre, auteur du "Petit guide pour gens intelligents qui ne se trouvent pas très doués". Suite à des travaux sur l`épilepsie, une découverte a permis de mettre en évidence que le cerveau est divisé en deux hémisphères. Souvent, les hémisphères droits, minoritaires, se sentent en décalage et ont parfois la sensation d`être fous. En fait, ils sont créatifs et très intuitifs mais l`ignorent. Souvent confus, ils ne prennent pas conscience de la complexité de leur raisonnement. Vous vous reconnaissez ? Quelques conseils

mercredi 16 mai 2012

Les techniques secrètes de l'engagement sur Internet



 Si vous avez l’habitude de lire des articles traitants des médias sociaux, vous n’avez pas pu passer à côté de la notion d’engagement (même si le storytelling a plus la côte depuis quelque temps)

Source : www.psycheduweb.fr 

dimanche 13 mai 2012

Parler de soi, c’est bon comme faire l’amour ou manger


Depuis qu’il est facile de s’exprimer grâce à Facebook, Twitter, les blogs et autres moyens électroniques, on peut de demander pourquoi tant de personnes éprouvent le besoin d’utiliser ces outils pour parler d’elles-mêmes. D’où vient ce puissant désir de raconter sa vie, de donner son avis sur tout, de s’exposer au regard de tous ? Comment expliquer le recours permanent au “moi, je…” qui scande également l’expression orale ? Plusieurs études scientifiques se sont penchées sur ces interrogations. Le résultat est concluant: parler de soi excite le système mésolimbique, qui, dans le cerveau, libère de la dopamine.

Shoot de dopamine
Grâce à l’imagerie cérébrale, les chercheurs ont pu mettre en évidence que cette activité actionne le processus de récompense primaire, tout comme le sexe ou la nourriture. On peut noter que ce système mésolimbique est souvent associé aux addictions à différentes drogues. Parler de soi engendre donc rien de moins qu’un shoot de dopamine. De quoi expliquer que certains soient accros. Les autres, sans doute, ignorent encore ce plaisir qui a l’avantage social de ne pouvoir s’exercer en solitaire. Pour parler de soi, il faut l’une, voire les deux oreilles d’un “autre”. Les réseaux sociaux démontrent que cet autre peut être à la fois distant et multiple. Si, dans ce cas, il ne répond pas directement, il doit néanmoins manifester son écoute d’une quelconque manière. D’où les “j’aime” de Facebook ou le nombre de Retweet de Twitter. Les dialogues électroniques se révèlent donc être une succession de discours univoques sur soi échangés dans tous les sens. Les réponses sont d’autant plus rares qu’il n’y a pas vraiment de questions…
80% des conversations sur les réseaux sociaux
On comprend mieux pourquoi les êtres humains consacrent de 30 à 40% de leurs conversations quotidiennes à transmettre aux autres des informations sur leurs propres expériences ou leurs relations personnelles. Les études ont montré que ce taux monte à 80% dans les billets de médias sociaux comme Twitter. Il ne s’agit alors, pour l’émetteur, que de relater sa dernière expérience en date. Parfois, souvent, on ne peut plus banale: “Je sors de chez moi”, “J’arrive au bureau”. “Il pleut, je suis trempé”…
Dans la dernière étude sur ce phénomène, publiée le 7 mai 2012 dans les Proceedings of the National Academy of Science des Etats-Unis (PNAS), deux chercheurs de l’université d’Harvard, Diana Tamir et Jason Mitchell, ont affiné l’analyse des réactions du cerveau humain dans différentes conditions d’expérience. Ainsi, ils ont découvert une activité supérieure dans le système de récompense chez les participants qui recevaient une petite somme d’argent (2 $). En revanche, les deux groupes (avec ou sans argent à la clé) ont réagi de la même façon lorsque les chercheurs ont comparé l’activité cérébrale des participants exprimant leurs propres opinions ou croyances et lorsqu’ils parlaient des opinions et des croyances des autres. Sans surprise, leur cerveau est nettement plus stimulé dans le premier cas.

Activités du cerveau des participants pendant les tests
Renoncer à de l’argent pour parler de soi
Diana Tamir et Jason Mitchell sont allés encore plus loin. Ils ont mesuré la quantité d’argent à laquelle les participants étaient prêts à renoncer pour révéler des informations sur eux-mêmes. L’étude, semble-t-il, n’est pourtant pas financée par les psychanalystes… Les 37 participants devaient choisir entre trois tâches: parler de leurs opinions et de leurs comportements (“Aimez-vous les sports d’hivers comme le ski?”), juger le comportement d’une autre personne (“Barak Obama aime-t-il faire du ski?”) ou répondre par oui ou par non à un questionnaire factuel (“Léonard de Vinci a peint la Joconde”). A chacun des 195 choix fait par les participants était associée une récompense variable (0.01 $ à 0.04 $), sans qu’il existe de corrélation systématique entre le montant de la récompense et le types de choix. Les chercheurs ont ainsi pu confirmer, une fois de plus, la préférence des participants pour les tâches leur permettant de parler d’eux-mêmes. Lorsque la récompense était équivalente pour les trois types de choix, les participants ont choisi ces tâches dans 66% des cas face aux tâches où ils devaient parler des opinions des autres et dans 69% des cas face au questionnaire factuel. Plus probant encore, en moyenne, les participants ont sacrifié 17% de leurs gains en préférant parler d’eux-mêmes face à d’autres choix rapportant plus. “Tout comme des singes prêts à renoncer à leur jus de fruit pour voir le mâle dominant ou des étudiants prêts à donner de l’argent pour voir des personnes séduisantes du sexe opposé, nos participants ont accepté de renoncer à de l’argent pour penser à eux et parler d’eux”, concluent les chercheurs.
Payer pour être lu
Un tel constat pourrait donner des idées à Facebook, entre autres. Si leurs utilisateurs sont si accros à la possibilité de parler d’eux, seraient-ils prêts à payer pour cette drogue ? En fait, Mark Zuckerberg, le fondateur de Facebook y pense déjà. Comme vous avez pu le lire sur Slate.fr, le site néo-zélandais Stuff a révélé une première tentative. Un test propose une nouvelle fonction, Highlight, qui, pour 2 $ permet  à un billet d’être davantage vu par les “amis”. Même si Facebook s’en défend pour l’instant, la tentation de faire payer le shoot d’”égo-dopamine” risque d’être très forte à l’avenir.
Michel Alberganti

mercredi 9 mai 2012

Psychologie: les trois types de personnes qui font obstacle à l'innovation



Apu, The Workaholic / herval via Flickr CC Licence By
Innover, prendre des risques, plonger dans l'inconnu, accepter de se transformer, c'est difficile pour toute organisation. C'est même impossible si l'équipe n'est pas soudée autour de son objectif. C'est ce qu'expliquent deux grands spécialistes du management d'entreprise G. Michael Maddock et Raphael Louis Vitón dans la rubrique Innovation Engine (le moteur de l'innovation) réalisée en commun par le magazine Businessweek et l'agence Bloomberg. Ils décrivent les trois types de profils psychologiques qui sont des obstacles à l'innovation et dont il faut absolument se séparer pour avancer.

1) Les victimes

Les victimes sont des personnes qui perçoivent les problèmes comme des moyens pour les persécuter plutôt que comme des défis à surmonter. «Nous jouons tous le rôle de victimes de temps à autre, mais pour certains cela est devenu un mode de vie», explique Businessweek. Ces personnes se sentent oppressées par les humains, les processus et les objets inanimés. «Les victimes ne cherchent pas des opportunités d'innover et d'avancer, mais des problèmes

2) Les non croyants

La différence entre la réussite et l'échec tient souvent à la dose de volonté et d'obstination mise par une équipe pour parvenir à ses fins. Et du coup, les sceptiques, nécessaires pour évaluer les situations, deviennent des obstacles quand vient le temps de l'action. «Ceux qui gagnent sont souvent ceux qui croient qu'ils peuvent y arriver et les perdants ceux qui doutent… Le lien entre y croire et y parvenir est puissant et réel…»

3) Les «je sais tout»

Les innovateurs sont des gens qui apprennent, pas des personnes qui savent. C'est la même chose au sujet des cultures d'entreprises innovantes, elles sont des cultures d'apprentissage. «Les dirigeants qui ont construit ces cultures (…) doivent rechercher en permanence des choses qu'ils ne comprennent pas et plonger au fond de la piscine…»
C'est le problème de fond de l'innovation. Les experts, ceux qui savent le plus, y sont en général réfractaires au nom de leur savoir maîtrisé. Mais cela explique pourquoi les grandes entreprises sont incapables, la plupart du temps, de voir venir le nouveau produit ou le nouveau concept lancé par un petit concurrent qui va remettre en cause leur modèle.
Comment laisser de la place à ceux qui «pensent autrement» ou «out of the box» (en dehors de la boîte)? Sur son blog sur le Huffington Post américain, Liz Ryan, une spécialiste du fonctionnement des entreprises et de la créativité, explique que penser «out of the box» c'est penser «en dehors du cadre dans lequel généralement on range les problèmes... avec une solution A, B ou C». Il faut simplement se poser la question de temps à autre: «y a-t-il une autre façon d'envisager cela?»

Photo: Apu, The Workaholic / herval via Flickr CC Licence By