Bienvenue sur le Blog de Julie...

Dans nos vies quotidiennes résonnent fréquemment des moments de stress, de tension, de douleur, de difficulté ou même des simples petits instants de faiblesse... L'esprit et le corps sont alors mis à contribution et ont souvent du mal à tout absorber. Dans ces circonstances, il est parfois compliqué de trouver des solutions immédiates et opérationnelles.
Grâce à une grande écoute et à l'utilisation de techniques variées agissant sur le confort mental et sur le bien être physique, je vous propose de mettre en oeuvre avec vous un programme adapté à vos besoins ponctuels ou réguliers.
Ces solutions s'adressent aussi bien aux adultes qu'aux enfants Elles sont sans risque et adaptées aux besoins de chacun. Mes coordonnées figurent sur cette page. Prenons rendez vous et évoquons vos préoccupations ensemble.
En attendant, ce blog - outil d'échange et de partage - est une fenêtre sur l'actualité émotionnelle du monde qui nous entoure; il vous apportera également des indications régulières sur le sens de ma démarche... Bonne lecture et à trés vite.
Julie

Actualité Sophrologie

lundi 19 novembre 2012

Cerveau d’Einstein : pas plus gros mais une organisation particulière



Depuis la mort d’Albert Einstein, le 18 avril 1955 à 76 ans, on sait grâce au journaliste Steven Levy que le cerveau du savant a été extrait par Thomas Harvey. Lors de cette découverte, en 1978, ce médecin déclara n’avoir rien trouvé de particulier dans la structure du cerveau pouvant expliquer les capacités exceptionnelles du savant, comme le note Wikipédia. Déception… Le génie n’affecterait donc pas l’organe de l’intelligence par excellence…
C’est ce que l’on croyait jusqu’à l’étude publiée le 16 novembre 2012 dans la revue Brainpar trois chercheurs américains, Sean Falk, Federick Lepore et Adrianne Noe.  Ces derniers ont eu accès à 14 photographies du cerveau d’Einstein récemment découvertes,“la plupart prises sous des angles non conventionnels”, indiquent-ils. Deux des photographies révèlent la forme des sillons sur la surface médiane des hémisphères et une autre l’anatomie du lobe droit. Les chercheurs ont ainsi pu étudier la plupart des sillons présents sur le cerveau d’Einstein afin de les comparer à ceux de 85 cerveaux humains décrits dans la littérature. Ils ont ensuite tenté d’interpréter les différences à la lumière que l’on sait sur l’évolution des processus cognitifs humains.

Un cortex préfrontal exceptionnel

Résultats, le cerveau d’Einstein présente un “extraordinaire cortex préfrontal qui pourrait avoir contribué à ses aptitudes cognitives hors du commun. De même, les cortex somato-sensoriels et moteurs près des régions qui représentent le visage et la langue sont très développées dans l’hémisphère gauche. Les lobes pariétaux d’Einstein sont également inhabituels et pourraient expliquer ses capacités de vison dans l’espace et ses dons en mathématique. Si son cerveau présente les asymétries frontale et occipitale typiques, il montre une extrême asymétrie des lobes pariétaux inférieurs et supérieurs. Enfin, les chercheurs ont constaté que, contrairement à ce que disait la littérature, le cerveau d’Einstein n’est pas sphérique, ne présente pas une absence d’opercule pariétale et dispose de sillons latéral (scissure de Sylvius) et postcentral qui ne se croisent pas.
L’association populaire entre l’intelligence et les “grosses têtes” semble infirmée par le cerveau d’Einstein qui ne présente pas une taille exceptionnelle. En revanche, certaines de ses particularités pourraient donc être associées à ses capacités cognitives exceptionnelles. Ce qui semblerait démontrer que l’évolution de cet organe tend à privilégier certaines parties comme le cortex préfrontal. Reste à déterminer si les caractéristiques de ce cerveau permettent de discerner une évolution qui touchera progressivement tous les cerveaux humains ou bien q’il s’agit là d’une exception due au hasard. Il semblerait que, depuis la mort d’Albert Einstein, l’augmentation du nombre de génies sur Terre ne suive pas celle de la démographie…
Michel Alberganti

dimanche 4 novembre 2012

Pour réussir, faut-il être intelligent ou motivé?


Des études scientifiques s'intéressent à ce qui peut (vraiment) nous motiver.

m&m's!/Hisham Binsuwaif via Flickr CC Licence by
m&m's!/Hisham Binsuwaif via Flickr CC Licence by -
La psychologue Angela Duckworth, de l'université de Pennsylvanie, a consacré sa vie professionnelle à l'analyse de la réussite des enfants et de ses causes. Elle explique qu'il est pratique de séparer les mécanismes de la performance en deux dimensions distinctes: la motivation et la volonté. Les deux sont nécessaires pour atteindre des objectifs à long terme, mais aucune n'est suffisante à elle seule.
Nous sommes nombreux à savoir qu'on peut avoir la motivation, mais pas la volonté: on peut être très motivé pour perdre du poids, par exemple, mais sans la volonté —la  détermination, la discipline— de reposer ce chausson aux pommes et de le remplacer par des haltères, ça ne suffira pas.
Les techniques et les exercices de discipline, comme apprendre à se détourner des tentations ou à conceptualiser ses objectifs, peuvent se révéler très utiles pour des enfants extrêmement motivés, mais si les élèves ne sont tout simplement pas motivés par les objectifs fixés par leurs enseignants ou leurs parents, Duckworth admet que toutes les astuces de self-control du monde n'y pourront rien.

L'effet des M&M'S

Mais la motivation n'est pas pour autant immuable: sur le court terme, elle peut même être étonnamment facile à changer. Prenons par exemple les expériences commencées il y a un demi-siècle sur le sujet du QI et des M&M's. Dans la première expérimentation, menée en Californie du Nord à la fin des années 60, un chercheur appelé Calvin Edlund a sélectionné 79 enfants de 5 à 7 ans, tous issus de «foyers de classe moyenne inférieure et de classe populaire». Les enfants ont été séparés aléatoirement en un groupe expérimental et un groupe témoin.
Ils ont d'abord passé une version standard du test de QI de Stanford-Binet. Sept semaines plus tard, ils ont passé un test équivalent, mais cette fois-ci les enfants dans le groupe expérimental ont reçu un M&M par réponse correcte. Lors du premier test, les deux groupes avaient eu des résultats équivalents;  mais pour la deuxième session, le QI du groupe aux M&M's a augmenté de 12 points, ce qui est énorme.
Quelques années plus tard, deux chercheurs de l'université de Floride du Sud ont approfondi l'expérience d'Elund. Après le premier test de QI sans bonbon, ils ont cette fois séparé les enfants en trois groupes selon leur résultat. Le groupe à QI élevé avait eu un score moyen de QI d'environ 119 au premier test. Le groupe à QI moyen avait une moyenne de 101, et le groupe à bas QI avait obtenu en moyenne un score de 79.
Pour le deuxième test, les chercheurs ont donné à la moitié des enfants de chaque catégorie un M&M par bonne réponse, exactement comme Edlund , et rien à l'autre moitié. Les enfants des groupes à QI moyen et élevé qui ont reçu les bonbons n'ont pas du tout amélioré leur score au deuxième test. Mais les enfants à bas QI à qui l'on a donné des M&M's pour chaque bonne réponse ont vu leur score de QI augmenter pour atteindre 97, faisant presque disparaître la différence avec le groupe à QI moyen.
Ces études sur l'effet M&M's ont sérieusement mis à mal les idées reçues sur l'intelligence qui veulent que les tests de QI mesurent quelque chose de réel et de permanent, quelque chose qu'on ne peut normalement pas changer drastiquement avec quelques chocolats. Elles ont aussi posé une question importante et intriguante au sujet des enfants censés avoir un QI bas: leur QI était-il effectivement bas? Quel était la mesure exacte de leur intelligence: 79 ou 97?

Une récompense peut être contre-productive

Des énigmes de ce genre, aussi frustrantes que passionnantes, les enseignants s'y confrontent régulièrement, en particulier dans les écoles accueillant des populations pauvres. Vous êtes convaincus que vos élèves sont plus intelligents qu'ils n'en ont l'air, et vous êtes sûr qu'ils pourraient faire bien bien mieux si seulement ils s'appliquaient! Mais comment les faire s'appliquer? Faut-il leur donner un M&M par bonne réponse pendant toute leur vie? Ce n'est pas vraiment une solution envisageable.
Et en réalité, pour les collégiens défavorisés, il y a déjà des récompenses importantes au fait de réussir ses contrôles; pas immédiates et pas pour chaque bonne réponse, bien sûr,mais sur le long terme. Si les résultats  scolaires d'un élève au collège et au lycée reflètent un QI de 97 au lieu de 79, il a de bien meilleures chances de réussir sa scolarité secondaire puis supérieure et d'avoir ensuite un bon travail —et à ce stade là, il peut s'acheter tous les paquets de M &M's dont il a envie.
Mais comme le savent tous les professeurs de collège, convaincre les élèves de la pertinence de cette logique est beaucoup plus difficile qu'il n'y paraît. On se rend compte que la motivation est  une chose compliquée, et qu'une récompense peut être contre-productive. Steven Levitt et Stephen Dubner racontent dans leur livre Freakonomicscomment, dans les années 70, des chercheurs ont voulu savoir si on pouvait encourager les dons de sang en offrant une petite somme d'argent aux donneurs. Ils ont montré que non: il y a en fait moins de donneurs si on les paye.
Et tandis que l'«étude M&M's» suggère que donner aux enfants des récompenses matérielles pourrait changer beaucoup de choses, ça ne marche souvent pas dans la pratique. L'économiste de Harvard Roland Fryer a récemment tenté d'étendre l'expérience des M&M's à l'échelle des écoles de toute une ville. Il a testé plusieurs programmes différents de récompenses dans des écoles publiques: une prime pour les enseignants qui amélioraient les scores de leur classe; une récompense (minutes de communication téléphoniques par exemple) aux élèves s'ils progressaient; une récompense financière aux familles si leur enfant s'améliorait...
Les expériences ont été effectuées avec soin, et les résultats ont été décevants presque partout. Ils y a quelques points positifs: à Dallas, un programme qui payait les élèves pour chaque livre lu semble avoir participé à l'amélioration des scores de lecture pour les élèves anglophones. Mais pour la plupart, les programmes ont échoué. L'expérience la plus importante, qui récompensait les enseignants de New York, a coûté 75 millions de dollars et a duré trois ans. Au printemps 2011, Fryer a annoncé qu'elle n'avait produit aucune amélioration.

Des motivations différentes en fonction des individus

C'est bien le problème lorsqu'on cherche à augmenter la motivation: personne ne sait comme le faire efficacement. C'est exactement la raison du remarquable succès des posters censés servir de source d'inspiration, des livres de développement personnel et des coachs de confiance en soi: ce qui nous motive est souvent difficile à expliquer et difficile à mesurer.
Une partie de la complexité du problème tient à ce que des personnalités différentes répondent à des motivations différentes. Cela a été montré par une série d'expériences lancée en 2006 par Carmit Segal, maintenant professeur à une université de Zurich, lorsqu'il était chercheur en post-doc au département d'économie de Harvard. Segal voulait mesurer l'interaction entre les récompenses et la personnalité, et elle a choisi pour cela l'un des test les plus faciles qu'on puisse imaginer, une évaluation des compétences administratives de base appelé test de vitesse de saisie.
C'est un test extrêmement simple: on commence par donner aux participants un tableau de réponses qui fait correspondre à une série de mots simples un identifiant à quatre chiffres. Le tableau ressemble à ça:


Un peu plus bas sur la page, un tableau propose cinq numéros possibles pour chaque mot.


Tout ce qu'il y a à faire, c'est trouver le bon numéro, et cocher sa case (1c, 2a, 3c, etc.). C'est fait en un clin d'œil, mais ce n'est pas passionnant.
Segal a déniché deux grandes séries de données rassemblant les scores de milliers de jeunes à la fois pour le test de vitesse de saisie et pour un test d'intelligence standard. La première était la National Longitudinal Survey of Youth (NLSY, Étude nationale longitudinale de la jeunesse), une vaste étude qui a commencé à suivre une cohorte de lus de 12 000 personnes en 1979. L'autre était fournie par un groupe de recrues qui avaient passé le test de vitesse dans le cadre d'examens nécessaires pour être acceptés dans l'armé américaine.
Les lycéens et étudiants de la NLSY n'avaient pas vraiment d'intérêt à se donner du mal pour les tests: les scores étaient uniquement destinés à la recherche et n'avaient aucune incidence sur leur résultats scolaires. Pour les recrues, au contraire, les tests étaient d'une importance capitale: de mauvais résultats pouvaient les empêcher d'entrer dans l'armée.
Quand Segal a comparé les scores des deux groupes pour chaque test, elle a vu qu'en moyenne les lycéens et les étudiants réussissaient les tests cognitifs mieux que les recrues. Mais pour le test de vitesse de saisie, ce sont les recrues qui s'en sortaient le mieux. Certes, il est possible que cela soit dû à un talent naturel pour les chiffres chez les jeunes qui choisissent de rentrer à l'armée, mais ça ne semblait pas très probable.

La motivation intérieure: la clef de la réussite

Segal a alors compris que le test de vitesse de saisie mesurait en fait quelque chose de bien plus profond que les capacités administratives: l'inclinaison et la capacité du sujet à se forcer à se concentrer sur le test le plus ennuyeux de la terre. Les recrues, qui avaient plus à perdre, faisaient plus d'efforts pour réussir le test de vitesse que les jeunes de la NLSY, et pour un test aussi simple ces efforts supplémentaires suffisaient à battre leurs camarades plus éduqués.
Gardez en tête que l'étude NLSY n'est pas un test ponctuel: elle a suivi les progrès des jeunes sujets pendant plusieurs années après cette mesure. Segal a donc analysé à nouveau les données, en comparant les scores cognitifs et de vitesse de saisie en 1979 aux revenus de l'élève vingt ans plus tard, quand les sujets avaient une quarantaine d'années.
Comme on pouvait s'y attendre, les adolescents qui avaient mieux réussi aux tests cognitifs gagnaient plus d'argent. Mais c'étaient aussi le cas de ceux qui avaient mieux réussi le simplissime test de saisie. Plus encore: en ne regardant que les élèves sans diplôme universitaire, leur score au test de saisie était aussi fiable que leur score aux test cognitifs pour prédire leurs revenus à l'âge adulte. La différence entre ceux qui avaient eu les meilleurs scores et ceux qui avaient eu les moins bons se mesurait en milliers de dollars par an.
Mais pourquoi donc? Le marché du travail américain apprécie-t-il à ce point la capacité à comparer bêtement des listes de nombres et de mots? Bien sûr que non. D'ailleurs, Segal ne conclut pas que ceux qui ont eu les meilleurs scores étaient effectivement plus forts à la tâche de saisie. Leurs résultats sont meilleurs pour une simple raison: ils s'efforçaient de réussir.
Et le marché du travail apprécie beaucoup la motivation intérieure qu'il faut pour s'efforcer de réussir à un examen même lorsqu'il n'y a pas de récompense externe pour cette réussite. Sans que personne ne s'en rende compte, le test de vitesse saisie a mesuré une compétence non-cognitive fondamentale qui a beaucoup d'importance dans le monde des adultes.
Les découvertes de Segal nous proposent un nouveau cadre de pensée pour les enfants censés avoir un faible QI dans l'expérience sur les M&M's en Floride. Ils avaient mal réussi le premier test, puis beaucoup mieux réussi le deuxième, avec la promesse de M&M's, et on se demandait lequel des deux scores, 79 ou 97, était leur vrai QI.
On peut soutenir que c'est bien 97, puisqu'on est supposé faire de son mieux à un test de QI, et qu'avec les M&M's ils ont fait de leur mieux. Ce n'est pas comme si les M&M's leur avait donné par magie l'intelligence nécessaire pour trouver les réponses: ils l'avaient donc déjà. Ils n'avaient donc finalement pas un QI bas, mais moyen.
En revanche, les résultats de Segal suggèrent que c'est bien leur premier score, 79, qui est pertinent pour leurs perspectives d'avenir. Ça correspondait à un score de vitesse de saisie: le résultats d'un test à faible enjeu et à faible récompense, qui prédit la réussite que quelqu'un risque d'avoir.  Il n'avaient peut-être pas un QI bas, mais ils leur manquait la qualité, quelle qu'elle soit, qui pousse quelqu'un à s'appliquer à un test de QI sans raison particulière. Et cette qualité s'avère, d'après les recherches de Segal, extrêmement utile.
Paul Tough
Traduit par Fabienne Gallaire
Cet article est tiré du nouveau livre de Paul Tough How Children Succeed: Grit, Curiosity, and the Hidden Power of Character (La réussite des enfants: Détermination, curiosité et le pouvoir secret du caractère), publié chez Houghton Mifflin Harcourt.

lundi 22 octobre 2012

Recyclage dans la maison: le café: cinq nouveaux trucs utiles pour usage domestique


Selon l'Organisation Internationale du café, environ 1,6 milliards de tasses de café sont consommées chaque jour. Ça laisse beaucoup de marc de café à recycler!

Contrairement à la mouture de café (les grains de café moulus plus ou moins fins), le marc de café (mouture qui a déjà servi) est généralement jeté à la poubelle.
Voyez comment recycler votre marc de café ci-dessous.
Photo: courtoisie de Cheryl Somers
Dans le jardin: on appelle parfois le marc de café «l'or brun du jardinier» car il est un excellent engrais naturel. Les grains de café sont gorgés de nutriments qui font pousser les plantes. Un petit truc: si vous avez des hortensias roses dans votre cour, et que vous les aimeriez bleus, éparpillez un peu de café recyclé autour de la plante... elle changera de couleur!
Contre les insectes: les petites bêtes adorent le sucre, mais détestent le café. Son odeur est trop forte et les repousse. Si vous avez des fourmis dans votre cuisine, essayez de jeter une pincée de marc de café sur l'endroit où vous en voyez.

Contre les puces: le café agit comme un répulsif avec les puces également. Lors du bain de votre animal domestique, frottez-le avec des restes de café, puis rincez-le. Votre animal sentira le café mais les puces resteront loin de lui. Vérifiez avec votre vétérinaire avant d'utiliser ce traitement.
Comme soin pour la peau: idéal pour une exfoliation maison! Doux et humide, le marc de café vous laissera une peau nette sans l'irriter.
Pour polir et nettoyer les meubles: si l'exfoliation marche pour nous, elle doit bien aussi marcher pour les meubles! Humide, on peut utiliser le marc de café pour polir de fines égratignures sur les meubles en bois, en frottant délicatement en formant de petits cercles. On peut également l'utiliser comme nettoyant abrasif (doux) pour les poêles graisseuses.

Comme désodorisant: votre sac de sport sent mauvais? Vous avez acheté un futon de Craigslist qui appartenait à un fumeur? Placez du café près de l'objet puant. Le café serait également utilisé dans l'entretien des canalisations car il empêche les dépôts, en luttant efficacement contre les mauvaises odeurs.

Source : www

SIX RAISONS DE FAIRE PLUS L'AMOUR


POUR CELLES QUI AVAIENT ENCORE UN DOUTE, VOILÀ 6 BONNES RAISONS DE FAIRE L'AMOUR 6 FOIS PLUS SOUVENT


Un anti-stress naturel : les endorphines relâchées durant le rapport sexuel et les orgasmes aident naturellement à booster la bonne humeur et diminuer le stress. Un rapport sexuel régulier peut aussi augmenter votre estime personnelle et l'intimité entre les partenaires. Pour ceux ayant une relation monogame, des études ont démontré que le sperme contenait plusieurs hormones modifiant l'humeur et pouvant ainsi réduire la dépression: la testostérone, les oestrogènes, l'hormone folliculo-stimulante, l'hormone lutéinisante, la prolactine et différentes prostaglandines. Plusieurs de ces changements ont été détecté dans le sang d'une femme quelques heures après avoir été exposé au sperme.


Augmenter votre système immunitaire : il a été prouvé que les endorphines relâchées durant le rapport sexuel stimulent les cellules du système immunitaire combattant les maladies. Des chercheurs ont trouvé de plus grandes quantités d'immunoglobulines A chez les individus faisant régulièrement l'amour. Les immunoglobulines A sont des anticorps qui nous aident à nous protéger des infections. On en trouve normalement de hauts niveaux dans les membranes muqueuses des voies respiratoires et digestives.
SUITE DU BILLET CI-DESSOUS
Les bénéfices du sexe sur la santé
1 sur 7
Alamy
Réduire la douleur : le sexe cause une augmentation d'ocytocine, souvent qualifiée d'"hormone de l'amour". Avant l'orgasme, l'ocytocine relâchée par le cerveau augmente de cinq fois son volume normal. Cette augmentation conduit à la production d'endorphines, nos hormones naturelles pour réduire la douleur. La zone du cerveau conduisant à la réduction de la douleur est très sollicitée durant l'excitation et les endorphines relâchées. L'ocytocine a également un effet sur nos sensations, nous aidant à former des liens émotionnels puissants en plus de réduire la douleur. Selon une étude de Beverly Whipple, professeur émérite à l'université Rutgers, et une sexologue et auteur de renom, quand les femmes ont un orgasme, le seuil de tolérance et celui de détection de la douleur augmentent significativement, en l'occurrence de 74,6 % et de 106,7 % respectivement.
C'est bon pour le cœur : l'acte sexuel, selon votre niveau d'enthousiasme, peut être considéré comme un exercice d'aérobic, allant jusqu'à brûler 200 calories. Parmi d'autres avantages, les femmes qui ont des rapports réguliers avec leurs partenaires ont de plus hauts niveaux d'oestrogènes, qui les protègent contre les maladies de cœur. Des études ont montré que des hommes ayant deux rapports sexuels par semaine avaient moins d'attaques du cœur que ceux dont ce n'est pas le cas. Les hormones produites durant l'acte sexuel créent une augmentation de la pression artérielle et des battements du cœur, qui touche presque chaque muscle du corps. Après l'amour, les vaisseaux sanguins sont dilatés et la pression artérielle diminue. Ce changement dans la constriction des vaisseaux sanguins peut également aider avec les céphalées de tension.
Vous garder plus jeune, plus longtemps : une étude menée auprès d'un grand échantillon d'Anglais a trouvé une réduction de 50 % de la mortalité dans le groupe d'hommes ayant déclaré qu'ils avaient le plus d'orgasmes. Le Journal of the American Medical Association a également rapporté "qu'une haute fréquence d'éjaculation est reliée à un risque décroissant d'avoir le cancer de la prostate". Avoir des orgasmes fréquents peut donc augmenter votre durée de vie. Chaque fois que vous atteignez l'orgasme, l'hormone DHEA augmente en réponse à cela et à l'excitation sexuelle. La DHEA peut vous aider à booster votre système immunitaire, augmenter les fonctions cognitives, conserver une peau en bonne santé, et même fonctionner comme un antidépresseur. Elle joue aussi sur la production de collagène qui garde la peau souple et vous donne de l'éclat.
Améliorer les hormones : les femmes qui font le plus l'amour ont de plus hauts niveaux d'oestrogènes, ce qui est essentiel pour avoir une peau plus douce, plus éclatante. Cette augmentation d'oestrogènes aident aussi à nous protéger des maladies du cœur, de l'ostéoporose, et potentiellement, de la maladie d'Alzheimer. Mais en plus de cela, plus vous faites l'amour, plus votre partenaire en aura envie. Quand nous sommes plus actives sexuellement, nous relâchons plus de phéromones, cette substance chimique que nous produisons pour exciter l'intérêt du sexe opposé.
 

Suivre Natasha Turner, ND sur Twitter: www.twitter.com/drnatasha

vendredi 19 octobre 2012

Stratégies parentales

3 stratégies sont utilisées par les parents pour inculquer le sens moral à leurs enfants:
1) Affirmation du pouvoir = privé de télé pas ex
2) Retrait d'affection = il fait comme si il ne s’intéressait plus à lui
3) Raisonnement inductif = explication par le parent des conséquences émotionnelles sur autrui d'un comportement mal adapté (si l'autre pleure c'est à cause de toi....)

Source : Laurent Bègue, professeur de psychologie à l’université de Grenoble,
cerveau et psycho n°53 page 21

Ne pas hésiter à culpabiliser vos voisins

Une étude a montré qu'en rappelant aux citoyens que certaines actions irresponsables ont un impact négatif sur la planète, on déclenche un sentiment de culpabilité environnementale, conduisant les personnes concernées à exprimer leur intention de changer d'habitudes ou de payer des taxes sur la pollution.


Source : Cerveau et Psycho n°53 page 27

jeudi 18 octobre 2012

Avis aux étudiants

Une étude de l'université d’Édimbourg montre qu'une leçon est mieux mémorisée lorsqu'on s'accorde 10 minutes de repos éveillé (sans occupation mentale) après son étude. 

Source : Cerveau et Psycho n°53 page 8

mercredi 3 octobre 2012

Bien manger : les 64 règles de pur bon sens de Michael Pollan


«Que devrais-je manger?», c’est la question simple que c’est posé Michael Pollan, journaliste américain, collaborateur du New York Times Magazine et auteur de plusieurs livres sur l’alimentation. Les règles d’une saine alimentation (Food Rules en version originale) a été publié en 2009 et traduit en français en 2010. Je ne le lis qu’aujourd’hui, un peu tard, mais le contenu de ce petit ouvrage est tellement limpide qu’il vaut la peine d’en parler…
«S’alimenter, à notre époque, est devenu compliqué, et cela, selon moi, inutilement»,commence Pollan. Le fait de se nourrir, activité pour le moins fondamentale, s’est entourée peu à d’une complexité floue, appuyée par les avis divers et variés d’une bonne quantité d’experts dans des domaines différents. On entend plus parler de nutriments et de calories que d’aliments. Mais on ne sait toujours pas au juste ce qu’on devrait manger.
Alors Michael Pollan s’est tourné vers «la sagesse alimentaire»,
«le produit d’un processus d’évolution impliquant des tas de gens du monde entier qui, ayant trouvé ce qui maintient (ou pas) en bonne santé, ont transmis ces connaissances sous forme d’habitudes et de combinaisons alimentaires, de règles, de tabous et de pratiques quotidiennes et saisonnières, et aussi de mémorables proverbes et adages».
L’auteur a condensé 64 règles pour une alimentation «saine et heureuse», en 3 chapitres qui relèvent tout simplement du bon sens un peu oublié.
“Que devrais-je manger ? De vrais aliments”
Ce serait LA clé du bien manger. Pour Pollan, les «vrais aliments» sont les plantes, les animaux, les végétaux mangés par les hommes depuis de nombreuses générations.  A l’opposé, il y a les produits transformés et industriels, «des substances comestibles ayant l’apparence d’aliments».
A partir de cela, on arrive à une série de règles simples comme «ne mangez rien que votre arrière-grand-mère ne reconnaitrait pas comme un aliment» ou «évitez les produits alimentaires qui contiennent des ingrédients qu’une personne normale n’aurait pas dans son garde-manger».
Pollan nous conseille aussi d’éviter «les produits alimentaires contenant des allégations de santé» (en prenant pour exemple la margarine, censée être plus légère que le beurre mais bourrée d’acides gras trans) mais aussi «les aliments qui prétendent être ce qu’ils ne sont pas» (comme le fromage maigre, les succédanés de sucre, l’amidon synthétique…).
Question pratique, on ne devrait consommer «que des aliments qui finiraient par pourrir»(car «plus un aliment est transformé, plus il a une longue durée de conservation, et moins il est nutritif en règle générale») et «que des aliments cuisinés par des humains».Et non pas par des chaînes industrielles…
“Quels types d’aliments devrais-je manger ? Principalement des végétaux”
L’auteur est favorable à une consommation omnivore, à tendance flexitarienne quand même… Il recommande de «traiter la viande comme un assaisonnement ou comme un aliment réservé aux grandes occasions».
Et il nous propose ce proverbe chinois:
«manger ce qui n’a qu’un pied (champignons et végétaux) vaut mieux que manger ce qui a deux pattes ( volaille), ce qui est encore préférable à manger ce qui en a quatre (vaches, cochons et autres mammifères)».
Ce proverbe laisse cependant de côté la question du poisson, pourvu de zéro patte… Ensuite, Pollan conseille de sucrer et saler nous-mêmes notre nourriture, et de ne pas avaler «de céréales de petit déjeuner qui modifient la couleur du lait», preuve irréfutable de la présence d’additifs chimiques.
Autre règle qui interpelle: «Mangez toute la malbouffe que vous voulez, tant que vous l’apprêtez vous-même». Si on faisait toutes les frites, les chips, les glaces et les biscuits que l’on consomme, on en mangerait bien moins souvent, ne serait-ce parce que cela représente beaucoup de travail. Et ce serait gustativement meilleur!
“Comment devrais-je manger? Sans excès”
Les mœurs et habitudes alimentaires sont bien sûr essentielles dans cette affaire. Lesrègles «cessez de manger avant d’être rassasié», «mangez par faim et non par ennui» et «consultez vos tripes» nous encouragent à bien réfléchir à la sensation de faim avant de se jeter sur un repas.
«Mangez lentement» et «passez autant de temps à savourer votre repas qu’il en a fallu pour l’apprêter» sont aussi des recommandations utiles si on recherche une expérience alimentaire plutôt qu’un simple apport calorique. D’ailleurs, «cuisinez» est une règle primordiale, pour ne pas perdre le contrôle de ce que l’on mange, au point de vue des portions et des ingrédients.
Dans ce petit ouvrage, on parle donc vraiment de pur bon sens. Mais un certain nombre de ces règles simples ne vont pas forcément de soi partout, elles ont été peu à peu oubliées. Il serait très bénéfique de s’y pencher de nouveau…
Mais bon, il ne s’agit pas non plus d’être obnubilé par ces principes alimentaires. Cela pourrait être «dommageable pour le bonheur et sans doute aussi pour la santé». Alors Pollan conclue par un ultime conseil: «Enfreignez les règles de temps à autre». Car «ce qui importe, c’est d’adopter une attitude décontractée envers l’alimentation».
Lucie de la Héronnière

mercredi 12 septembre 2012

SEXE : PARLEZ-EN PENDANT L'AMOUR


ET SI EN MATIÈRE DE SEXE, CEUX QUI EN PARLAIENT LE PLUS ÉTAIENT LES PLUS ÉPANOUIS ? C'EST EN TOUT CAS CE QU'AFFIRME UNE ÉTUDE AMÉRICAINE


Exprimer son désir, ses envies, son plaisir ou encore son mécontentement avant, pendant et après le sexe, voilà la clé d'une vie sexuelle florissante. Des chercheurs américains* ont en effet prouvé que les personnes qui n'avaient pas peur de parler de sexe durant l'acte sexuel étaient les plus comblées au lit. À l'inverse, ceux qui auraient plus de mal à aborder le sujet seraient plus susceptibles d'avoir une vie amoureuse moins satisfaisante, affirme la directrice de l'étude Elizabeth Babin, de Cleveland State University (Ohio) à la revue en ligne Live Science.
En effet, outre les mots coquins susurrés à l'oreille ou les grandes démonstrations de plaisir, exprimer ce que l'on ressent au lit et ce qu'on y attend est souvent efficace pour être pleinement satisfaits. Mais encore faut-il savoir s'y prendre ! "Il ne suffit pas de parler, il faut parler juste" comme dirait Shakespeare. Adresser des paroles crues ou des indications trop directives à un partenaire timide peut devenir au contraire une vraie source de stress contre-productif. Dans certains cas, l'expression non verbale peut alors s'avérer être une option plus sûre, selon la Elizabeth Babin : "Elle peut être perçue comme moins menaçante, il serait donc plus conseillé de geindre ou de bouger d'une certaine manière pour exprimer son bien-être qu'en disant, 'C'est vraiment bon, j'aime ça'" explique-t-elle "Car cela peut paraître un peu trop direct pour certains".
Plus qu'une étude sur le comportement sexuel, ces recherches sur la communication sexuelle sont réellement importantes pour les chercheurs en santé publique, souligne Live Science, qui explique qu'une trop grande gêne sur le sujet peut empêcher certains d'aborder le problème du préservatif, ou encore des MST et IST. Un problème qui s'avère bien plus important que l'insatisfaction sexuelle.
Conclusion : le sexe, parlez-en.
*Selon une étude publiée dans la revue Journal of Social and Personal Relationships et qui se base sur les réponses  aux questionnaires sur leur communication au lit, verbale ou non, et sur leur satisfaction sexuelle de 207 personnes, âgés en moyenne de 29 ans.
Source : www.grazia.fr

Le pouvoir de votre étonnant cerveau!

From medical nutrition to edible vaccines: to what extent can food help medicine?


As the link between nutrition and health is increasingly explored and documented, new solutions keep emerging to fight the wide range of challenges the world is facing in terms of public health. Welcome to the future.
SUMMARY
Knowing what is the “ideal diet” to achieve health through our daily diets is not enough. Food is also a valuable resource to help prevent and fight some diseases, and in the Western world medical applications for food – known as “medical nutrition” – are developing rapidly. Halfway between pharmacology and the food industry, these products might soon coexist with other, much more “natural” ones… with an extra twist.

Nutrition and health have always been intrinsically linked, and mankind has known this for a long time. Evidence has been discovered that in 5000 B.C., plants were used for medicinal purposes in China. All the great civilizations of Asia Minor, Central Europe and the Near East consumed fermented milk products, the ancestors of our yoghourts, to strengthen their bones. Over the course of the 20th century, with the progress of both medicine and the agro-industry, the developed world has been able to feed more and more people. This increase has been quantitative as well as qualitative. Assessing the nutritional and health virtues of what we eat has become more and more precise, to the point where we actually know what is the “ideal diet” for leading a long and healthy life (see our article “Eating responsibly and healthily: an unsolvable equation?” from the 16th of August: http://bit.ly/danoneDTE16082012P). But nutrition can do more than “just” make us healthy. It has also long been used as a medicinal aide to help fight or prevent diseases, whether epidemic or non-communicable. Although it is not a substitute for actual medicine, food has a major role to play in this field, especially given the new challenges that the world faces. And it may be used one day for health purposes in ways even the most imaginative sci-fi film could never imagine.

The development of medical nutrition

In terms of public health, two main trends can be identified. In the Western world, the population continues to age, leading to more age-related diseases such as Alzheimer’s and Parkinson’s. We do live longer, but in order to make these “additional” years healthier, medical expenses have skyrocketed over the past century. In addition, our lifestyle is responsible for spreading of non-communicable diseases such as obesity, diabetes, heart diseases, many sorts of cancers, asthma, allergies, etc. On the other hand, under-nutrition and malnutrition are still major challenges faced by millions of children every day, affecting their health and development, both in the developed and developing worlds. In this dual context, it comes as no surprise that health institutions, such as pharmaceutical laboratories, as well as food giants have chosen to invest in the field of what is known as “medical nutrition”. The products that they develop can help compensate for nutritional deficiencies, prevent the apparition of some diseases, support the treatment of others, offer an alternative in the case of food intolerances, and more…thus reducing a range of public health costs. For instance, Danone has developed a variety of products, ranging from powdered milk for children who are allergic to cow’s milk to milky drinks that provide the full range of recommended nutritional requirements of people who lose their appetite, to a product, not yet on the market that is designed to support synapse formation in the early stages of Alzheimer’s disease. “Medical nutrition” products, even though they benefit from the experience of traditional food producers and thus their knowledge of taste and texture, are designed to be used and prescribed by healthcare professionals. Therefore, they need to be scientifically tested and verified before they are sold in pharmacies, hospitals and through doctors. As William Green, head of communication for the Medical Nutrition division at Danone, puts it: it is essential to“prove the benefits of our products on health. To achieve that, the group works with doctors that are specialists of the field targeted by each product, and also with universities.” 
Medical nutrition is now a market worth 8 billion dollars, and it is expanding at a rate of 10% every year. But 60% of it is still concentrated in the United States and Europe. Emerging and developing countries should soon see a broader range of options as we improve our knowledge of both their public health needs and their nutritional tastes and habits.

What the future holds in store

Medical nutrition as we now know it could be considered as a state-of-the-art approach to the links between health and food. In a way, it is the zenith of a history that started when mankind realized that some natural products had curative or preventive effects: garlic against asthma, honey to heal a wound faster, cranberry to fight variety of health problems, from mere discomforts to serious diseases. But the future has way of going whole hog. New ideas and products could certainly blossom over the next few years to fight problems on a global scale.
In North America, for instance, research has been carried out for a few years now to create “edible vaccines”: genetically modified vegetables or fruits that contain vaccine proteins. People who eat them would boost their immune systems, protecting them against the infection the vegetable has been designed to fight. In Canada, researchers have incorporated a human gene into corn, making the corn produce antibodies designed to kill cancerous cells and thus help fight some types of cancers. At Texas A&M University (Houston, Texas), another group of researchers is working on “vaccine bananas” that could help fight plagues that kill fifteen millions of children every year in third-world countries: cholera, deadly types of diarrhoea, hepatitis B, etc. Bananas are good candidates because children like to eat them and they grow easily, especially in the countries where these vaccines are desperately needed. In fact, advocates of this solution argue that edible vaccines would be much cheaper, could be easily preserved in the natural packaging of the fruit, and would be safer and more efficient than traditional vaccines. Charles Arntzen (Arizona State University), a pioneer in the field, has made it his life’s struggle to provide protection against infectious diseases to the poorest populations. . He believes that using traditional technology to vaccinate everyone is simply impossible. “So I’m going to spend the next five years trying to make it so easy that anybody can do it” - thanks to edible vaccines.
Of course, these are not going to appear overnight. We are only beginning the research process, and even if it succeeds, there will be many problems left to be resolved. For instance, if the vaccine is too powerful, it will have the opposite effect and the disease will develop tolerance to it. Safety control is also a major issue. And then there are, of course, all the fears linked to genetically modified organisms in general. In the long run, what could these genes do to children’s bodies? Time will tell if these risks can be eradicated or not. In the meantime, scientists keep working and discovering new mechanisms.
As far as prevention is concerned, it has thus been scientifically established that the answer to a variety of incommunicable diseases could simply be found… in our gut. As we explained in a previous article (INSERER REFERENCE), the intestinal microbiota that we all shelter has a strong importance on some body functions, and is closely linked to our metabolism and immune system. Getting to know these gut microbes better thus “opens up new horizons that point towards the possible emergence in the future of preventive and personalised diets” to fight major chronic diseases. For instance, “the experts estimate that our genetic heritage influences our susceptibility to obesity at a level of 30%, while environmental factors such as dietary intake at the start of life may have a more preponderant effect”: modifying the intestinal microbiota in the first two years of life would then be key to “positively interfere with the immune system equilibrium as well as the metabolic “programming” of the individual.” Also, as our knowledge of intestinal microbiota gets more accurate and comprehensive, we will soon be able to identify predisposition to certain diseases and fight them more efficiently.

It is hard to predict what breakthroughs medical nutrition will achieve, what wonders of the human body will be discovered and what unbelievable ideas will come to life in labs all over the world in the decades to come. But the least we can say is that mankind is certainly not going to stop exploring the ties between food and health. And maybe one day it will help eradicate epidemic diseases and effectively prevent and cure non-communicable ones?

L'Impact sur le corps d'un déséquilibre acido-basique

mardi 28 août 2012

A quel âge souhaitez-vous mourir?



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Si vous pouviez choisir, quelle serait la durée de votre vie? C’est l’étrange question qu’a posé David Ewing Duncan, journaliste et écrivain spécialiste des sciences, à près de 30.000 personnes ces trois dernières décennies lors de conférences.
Le New York Times rapporte que quatre réponses étaient possibles: 80 ans, durée de vie moyenne actuelle dans les pays développés, 120 ans, âge maximum atteint par un humain, 150 ans, ce qui nécessiterait une percée de la biotechnologie et… l’immortalité.
Résultat, 60% aimeraient vivre 80 ans, 30% préfèreraient jusqu’à 120 ans, seulement 10% accepteraient de vivre jusqu’à 150 ans et enfin moins de 1% souhaitent l’immortalité.
La grande majorité des réponses s’explique par la peur d’être plus longtemps vieux et infirme, même si une pilule miracle permettait de retarder le moment de la mort: «Ne vais-je pas finir par m’ennuyer? Comment vais-je pouvoir assumer financièrement mon quotidien plus longtemps?», s'interrogent-ils, quand d’autres craignent un impact néfaste sur l’environnement et l’emploi.
Ces interrogations sont d’autant plus légitimes que la durée de la vie, dont l’augmentation est continue depuis le siècle dernier, n’est plus au centre de la recherche sur le vieillissement. L’amélioration des moyens liés à l’hygiène et la nutrition, l’arrivée des antibiotiques, la chirurgie, des traitements anticancéreux ont permis un bond de l’espérance de vie. A la fin du XXIe siècle, elle sera d’environ 100 ans pour les femmesdans les pays développés et de plus de 90 ans pour les femmes dans les pays en développement (les hommes ont un retard de trois ou quatre ans). Mais aujourd'hui, les médecins ne cherchent plus uniquement à «prolonger la vie» mais à comprendre et étudier les maladies liées au vieillissement pour permettre aux patients de vivre mieux plus longtemps.
Plusieurs techniques sont à l’étude: des pilules pour réduire la quantité de graisse dans le foie et lutter contre le diabète — cette pilule semble ralentir le vieillissement chez la souris, les recherches sur les cellules souches, les appareils auditifs et les prothèses ou les implants cérébraux pouvant contrôler les tremblements provoqués par la maladie de Parkinson par exemple.

Source : www.slate.fr
Photo : hourglass_cropped / openDemocracy Via FlickrCC Licence By

dimanche 8 juillet 2012

Qu’est ce que le design culinaire : explication sur une discipline en plein essor



Ici Alexandre Herchcovitch styliste brésilien a choisi de revisiter une des gourmandises locales: le brigadeiro, une truffe au chocolat, au lait condensé et au beurre.
En outre, dans le domaine de la restauration haut de gamme, on assiste à une évolution de la tradition gastronomique, le travail du chef avec un designer dépasse largement le contenu de l’assiette, en créant de nouveaux environnements de dégustation.
Mais la  définition du design culinaire  la plus actuel reste : l’art de marier les métiers de la bouche, les chefs de cuisine le plus souvent, et ceux du design. Le designer intervient à plusieurs niveaux : contenant, contenu, lumière, espace, déambulation, etc… autant d’éléments au service de ce qui va être dégusté et non en tant que décor. Fort de cette échelle et des champs d’application (artisanat ou industrie) enjeux et propos sont bien évidemment très variés. Le designer doit s’attacher à trouver et exprimer toute la cohérence qui existe entre un aliment et ses attributs.
l’inventeur du design culinaire n’est autre que Marc brétillot, et nous lance il y a 10 ans, ce tout nouveau mouvement artistique. Il est passionné par la création et par la nourriture, Marc Brétillot fait des aliments son unique matériau. Il enseigne sa passion à ses étudiants de l’ESAD de Reims, où il dirige le laboratoire du Design culinaire.L’ouvrage « Culinaire design » co-écrit avec Thierry de Beaumont, journaliste et enseignant à l’Ecole de design et d’architecture d’intérieur Camondo. Paru aux Editions Alternatives, « Culinaire Design » nous présente des projets et l univers de Marc Bretillot.
Vous pouvez avoir un petit aperçu de l’ouvrage à se lien :Culinaire Design.
Voici une liste non exhaustive d’acteur du design culinaire ainsi que quelques œuvres, Marc Brétillot, le précurseur,  Stéphane BureauxGermain Bourré,  Marti GuixeEmmanuelle BecqueminJulie Rhothahhn,Delphine Huguet.
by  (Konkrete Magazine)