Bienvenue sur le Blog de Julie...

Dans nos vies quotidiennes résonnent fréquemment des moments de stress, de tension, de douleur, de difficulté ou même des simples petits instants de faiblesse... L'esprit et le corps sont alors mis à contribution et ont souvent du mal à tout absorber. Dans ces circonstances, il est parfois compliqué de trouver des solutions immédiates et opérationnelles.
Grâce à une grande écoute et à l'utilisation de techniques variées agissant sur le confort mental et sur le bien être physique, je vous propose de mettre en oeuvre avec vous un programme adapté à vos besoins ponctuels ou réguliers.
Ces solutions s'adressent aussi bien aux adultes qu'aux enfants Elles sont sans risque et adaptées aux besoins de chacun. Mes coordonnées figurent sur cette page. Prenons rendez vous et évoquons vos préoccupations ensemble.
En attendant, ce blog - outil d'échange et de partage - est une fenêtre sur l'actualité émotionnelle du monde qui nous entoure; il vous apportera également des indications régulières sur le sens de ma démarche... Bonne lecture et à trés vite.
Julie

Actualité Sophrologie

samedi 5 octobre 2013

L'exercice physique serait "aussi efficace" que les médicaments dans certaines pathologies cardiaques

Photo d'illustration

Plusieurs études montrent que l'activité physique peut s'avérer aussi efficace que les médicaments dans le traitement de certaines pathologies.

Le sport aussi efficace que les médicaments? Pratiquer régulièrement une activité physique pourrait être au moins aussi efficace que les médicaments pour prévenir ou accompagner certaines pathologies, selon une étude publiée mercredi 2 octobre dans une revue médicale britannique.

L'exercice physique serait même un peu plus efficace que les médicaments dans la rééducation de patients ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) ou dans la prévention des complications ou de la récidive chez des patients atteints d'une affection coronarienne.

L'exercice physique parfois même plus efficace

Provoquée par des lésions au niveau des parois des vaisseaux qui irriguent le coeur (artères coronaires), la maladie coronarienne est la forme la plus courante de maladie du coeur. Elle peut entraîner une crise cardiaque, si un de ses vaisseaux se bouche. Des chercheurs britanniques et américains ont passé en revue les données fournies par plus de 300 études scientifiques internationales ayant porté au total sur 339.000 personnes pour tenter d'évaluer l'impact de l'exercice physique sur diverses pathologies en terme de mortalité.

En se basant sur les résultats de 77 essais portant sur la prévention secondaire (après un accident) de la maladie coronaire, ils ont découvert que l'exercice physique était "aussi efficace" , voire même légèrement supérieur à un traitement à base de statines, des médicaments prescrits pour combattre l'excès de cholestérol.

Droit de savoir

Ils ont également montré un très léger avantage de l'exercice physique par rapport à un traitement médicamenteux (notamment anticoagulants) utilisé dans les suites d'un AVC. A l'inverse, les diurétiques se sont avérés nettement plus performants que l'exercice physique dans le traitement de l'insuffisance cardiaque.

Les auteurs de l'article publié dans le British Medical Journal (BMJ) reconnaissentl'existence de limites à leurs travaux, liées notamment au manque d'études consacrées à l'impact de l'activité physique sur les principales pathologies, alors que les études sur les médicaments foisonnent.

Mais ils estiment que malgré ces incertitudes, l'activité physique "est potentiellement aussi efficace que de nombreuses interventions médicamenteuses". Les autorités sanitaires devraient demander aux laboratoires pharmaceutiques d'inclure la comparaison de leurs nouvelles molécules avec l'exercice physique, lors des essais cliniques, préalables à la commercialisation des nouveaux médicaments, estiment les auteurs.

Enfin, "dans les cas où le médicament n'offre qu'un bénéfice modeste, les patients ont le droit de savoir quel impact relatif l'activité physique pourrait avoir sur leur maladie", ajoutent-ils.
Source : RTL.fr

La citation du jour

"On mesure l'intelligence d'un individu à la quantité d'incertitudes qu'il est capable de supporter" 

Emmanuel Kant

Comment le rire peut-il réduire la douleur?

Rire diminue la sensation de douleur, selon une étude britannique publiée dans la revue Proceedings of The Royal Society B.
Robin Dunbar et Ian MacDonald de l'Université Oxford ont testé la réaction à la douleur de volontaires qui regardaient des extraits de comédies ou des émissions non-humoristiques. La douleur était provoquée par le froid d'un manchon destiné à rafraîchir le vin ou par un garrot serré jusqu'à la limite de tolérance.
Un quart d'heure de rire augmentait d'environ 10% la tolérance à la douleur alors que regarder des émissions non humoristiques n'avait aucun effet antidouleur. Se trouver dans un groupe semble déterminant pour déclencher un rire suffisamment intense, précisent les chercheurs.
Source : Psychomedia

Apprendre avant le sommeil favorise la mémorisation

Le sommeil influence la mémorisation d’informations nouvelles, montre une étude publiée dans la revuePlos One.
La chercheuse en psychologie Jessica Payne de l’Université de Notre Dame et ses collègues ont mené cette étude avec 207 étudiants qui étaient assignés aléatoirement à l’étude de paires de mots, reliés sémantiquement ou non reliés, à 9h du matin ou à 21h. Leur mémorisation était testée après 30 minutes, 12 heures ou 24 heures.
Le test réalisé 12 heures plus tard montrait que la mémoire était meilleure après une nuit de sommeil comparativement à une journée d’éveil pour ce qui était des mots non reliés sémantiquement.
Source : Psychomedia

La perception du temps influence l’intensité de la douleur

Plus le temps semble long, plus une douleur parait intense, selon une étude de l’Institut national français de la santé et de la recherche médicale (Inserm). Des études avaient déjà montré que l’anxiété ou les expériences douloureuses antérieures amplifiaient le ressenti de la douleur.
Roland Peyron et ses collègues ont mené cette étude avec 24 participants âgés de 22 ans en moyenne. Les chercheurs ont appliqué une source de chaleur douloureuse sur le dos d'une main des participants alors qu’ils étaient placés successivement devant deux horloges dont les aiguilles ne tournaient pas à la même vitesse.
La source de chaleur était appliquée pendant 15 secondes, puis pendant 30 secondes. Les participants évaluaient le niveau de douleur ressenti sur une échelle de 1 à 10.

Source : Psychomedia

Pour les parents qui ne laissent pas leurs ados tranquilles

"l'adolescent doit s'ennuyer longtemps avant de se rendre compte que l'inaction est agréable: elle lui ouvre les portes de la réflexion."

Cerveau et Psycho Aout-Octobre 2013.

vendredi 27 septembre 2013

Pourquoi a-t-on envie de changement à la rentrée ?



En général, à la rentrée, on prend des bonnes résolutions. Mais d'où nous vient cette envie de changement ? Sandra Fingerhut, psychologue à Paris, nous éclaire sur ce sujet.

Qui n'a jamais eu envie de changer de coupe de cheveux, de style vestimentaire ou de mode de vie à son retour de vacances ? Bien souvent, en effet, la rentrée est synonyme de changement. Mais d'où peut bien venir cette envie ? Pour Sandra Fingerhut, psychologue dans le 17eme arrondissement de Paris, l'explication est simple : "Bien souvent pendant l'année, on est pris dans une certaine routine. On n'a pas le temps de se poser. Les vacances nous permettent de souffler mais aussi de nous rendre compte des réalités. C'est à ce moment-là,  que l'on prend pleinement conscience du temps qui passe et que l'on établit un bilan de notre vie. On se projette également dans le futur. On se demande à quoi on voudrait qu'il ressemble".

L'heure est donc aux bonnes résolutions : arrêter de fumer, se mettre ou remettre au sport , faire un régime ou encore finir plus tôt le boulot. Des petits changements qui suffisent à faire évoluer notre quotidien. Mais alors, saura-t-on les tenir ? "La plupart du temps, les résolutions prises dans l'urgence ne sont pas suivies. Mais il faut savoir que parfois, ces dernières, même prises sur un coup de tête, sont bien plus réfléchies qu'on ne le pense", explique Sandra Fingerhut, avant d'ajouter : "D'une manière générale, il faut rechercher l'origine de notre envie. Lorsqu'il s'agit d'une réelle motivation, il y a de grandes chances que l'on arrive à les tenir. Si, en revanche, on souhaite faire plaisir à notre entourage ou que l'on se focalise sur l'image que l'on peut renvoyer à l'extérieur, il sera plus difficile de les tenir".  

Une chose est sûre, en tout cas, il n'est jamais mauvais de se remettre en question. Il n'est d'ailleurs pas rare que l'on se remette en cause à certaines périodes clés de notre vie : "une séparation, un changement de boulot", par exemple, souligne Sandra Fingerhut. Rassurez-vous cela est tout à fait sain et n'a qu'un seul but : nous rendre plus heureux...  
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